à l’américaine

  

Terme grossissant et néanmoins difficile à comprendre, car parfois demandée à faire. On le retrouve à la fin de chaque acte quand celui-ci doit exploser en feu d’artifice. Un américain ne fait rien à l’américaine, car il vit à l’américaine.
On l’entends parfois dans la bouche des parents dont les enfants sont nés fin 1970, ( dont moi!) mais ce terme se décline en plusieurs points :
-En musique, guitare accordée un demi-ton en-dessous.
-Attribution des diplômes en grand
-Parfois mauvais coup marketing tel Britney Spears qui va nous avouer qu’elle n’a jamais été vierge. ( C’est un scoop calculé depuis longtemps, dès le début même. Ils se foutent des conséquences. Car pour eux, faut briller!!) :
– On va la jouer à l’américaine
-Etudier à l’américaine, bon système. Car il permet le matin la connaissance juste des choses dans un bon environnement, (mais) et le reste de la journée n’en est que le décliné des sciences, l’artistique l’après-midi.

Ah oui, chaque jour de la semaine est différent, le style doit en être. Ils n’ont pas encore trouvé d’appli sur iPhone pour « à l’américaine », … enfin c’est à l’étude. Et pis en gros, le reste a déjà été dit bien avant, par l’origine de la connaissance juste des choses,  » la Vieille Europe ».

Par : Jean Carl, "Crocodile absent"

Exemple

Dans un festival de film américain, ATTENTION fait véridique!! Interview de Michel Gondry, devant la télé:
-Oh, t'as vu?
-Ouaip, quoi? Oh p... encore un truc à l'américaine!
-Et?
-Si c'est pas eux qui l'ont inventé, c'est forcément pas toi, la nana va pas en démordre!
-Oh pu... mais c'est vrai

03/07/2013
Origine :